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  • Lancedragon, un mythe, une légende!

     

     

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    Il y a dans l’univers de la fantasy une série de romans que j’affectionne tout particulièrement. Une saga épique, tout un monde inventé dans les années huitante par deux écrivains dans le but originel de développer une gamme de jeux de rôles.

     

    Certes, ces livres ne brillent pas leur style, sommes toutes assez simple, ou leur histoire, considérée aujourd’hui comme classique, mais pourtant cette série reste toujours aussi magique à mes yeux. La preuve, je suis en train de la relire pour la énième fois, et toujours avec le même plaisir !

     

    Cette saga magistrale, c’est Lancedragon (Dragonlance), l’histoire épique du monde de Krynn, inventé par Margaret Weis et Tracy Hickman. Et si le cadre et l’histoire peuvent aujourd’hui paraître souffrir de trop de classicisme , je rappelle qu’en leur temps ils révolutionnèrent pas mal la littérature heroic fantasy, connaissant un succès que personne n’aurait imaginé.

     

    Pour ma part, j’aime l’histoire, j’aime ses rebondissements ; j’aime ce style simple mais agréable à lire ; j’aime le monde de Krynn, ses races (aaah, les kenders ^^), ses dieux ; et par-dessus tout j’aime ses personnages, ses héros. Car ce qui fait pour moi la force de Lancedragon, ce sont ses incroyables protagonistes, bien plus travaillés qu’il n’y paraît et tous très attachants.

     

    Lancedragon, c’est avant tout la compagnie originelle :

     

    -Tanis Demi-Elfe, le meneur tourmenté du groupe, sans cesse en proie à ses doutes et à ses faiblesses, déchiré par sa passion envers la sombre Kitiara alors que tout le monde voit comme un chef naturel.

     

    -Lauralanthalasa, dite Laurana le Général Doré, la princesse elfe capricieuse, épris de Tanis, qui va évoluer pour devenir le fameux général doré à la tête des dragons d’or et d’argent.

     

    -Flint Forgefeu, le vieux nain ami de Tanis, un cœur d’or derrière son attitude grognonne.

     

    -Rasitlin Majere, le mage à la peau dorée et à la santé ravagée dans sa quête de la magie et du pouvoir, qui ne s’émeut que pour les faibles et les misérables (sans doute un des meilleurs personnages qu’il m’ait jamais été donné de voir dans n’importe quelle œuvre imaginaire !)

     

    -Caramon Majere, le grand guerrier au cœur d’or, fidèle frère jumeau du maladif Raistlin et prêt à tout pour aider ce dernier.

     

    -Tika Wayland, la serveuse qui ne s’attendait pas à un destin aussi exceptionnel que celui de se retrouver mêlée à la Guerre de la Lance

     

    -Stumr de Lunelame, le fier chevalier solamnique décidé à raviver la gloire de son ordre et à se sacrifier au nom de la valeur qu’est l’honneur et que trop de gens ont oublié.

     

    -Kitiara Uth-Matar, la sombre mercenaire, demi sœur de Caramon et Raistlin, guerrière intrépide à la recherche de la gloire et du pouvoir.

     

    -Lunedor, la maginfique princesse barbare des plaines, élue par les dieux pour rapporter leur parole dans un monde qui les avaient oubliés.

    -Rivebise, le grand et taciturne barbare berger, amant et protecteur de Lunedor.

     

    -Et, j’ai gardé le meilleur pour la fin : le sublime, l’exceptionnel, l’inénarrable Tasslehof Racle-Pieds, le malicieux kender cletpomane qui ne connaît pas la peur, et un élément essentiel dont nombre des romans ! Un personnage tellement génial qu’on ne peut qu’en redemander !

     

    Bref, Lancedragon, c’est une saga que tout amoureux de la fantasy se doit de connaître. Parce que, franchement, des bouquins de fantasy comme ça, on en fait plus de nos jours !

     

    Chanson du moment: That Don't Impress Me Much - Shania Twain 

    Bouquin du moment: Lancedragon: la Guerre de la Lance 1/ Dragons d'un Crépuscule d'Automne - Margaret Weis et racy Hickman (que je relis pour la énième fois, vous devreiz voir l'état du bouquin^^)

    Humeur du moment: chaude (fait trop chaaaauuuud T_T) mais bonne.


  • Balançoire

     

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    Bon sang!

     

    Ce week-end, j'ai dû me traîner à une réunion de famille dans la montagne vaudoise. On était 19, y avait de la place et j'ai pris le dortoir de 50 lits pour moi tout seul. Etant donné qu'il était au grenier, ça donnait une atmosphère assez flippante...

    Et samedi, me suis tellement ennuyé que j'ai fait de la balançoire. De la balançoire, nom d'une chouette! J'en avais pas fait depuis quoi... plus de cinq ans! Et pourtant, ça ne perd rien de son charme. C'est toujours agréable de se balancer je trouve. Ca... délasse l'esprit, ou du moins le mien.

     Enfin bref, rien de palpitant à écrire je le crains. 

     

    Mais purée, de la balançoire! 

     

    Bouquin du moment: La Guerre des Ames 2: Dragons d'une Etoile Perdue (Margaret Weis et Tracy Hickman)

    Musique du moment: Men, I Fell I Like A Woman - Shania Twain (cette chanson me fait trop tripper :D)

    Humeur du moment: impatiente (Dr. House ce soir *_*)

  • Le mercredi, c'bien mieux qu'le dimanche


    podcast

     

     

     J’sais on est jeudi et j’ai mis mercredi dans l’titre mais j’fais c’que j’veux.

     

    Tout ça pour dire que hier après-midi (le mercredi donc, pour ceux qui suivent pas) s’est révélé être un intéressant moment. En effet, le SPJ (Société Protectrice de la Jeunesse, en Suisse) fête ses 50 ans en automne, et mon cher assistant social (oui, j’ai un assistant social, étant donné que chuis dans une famille d’accueil) m’avait parlé d’un projet qui avait émergé dans son esprit.

     

    Le but était de demander aux enfants et ados affiliés au SPJ d’écrire un petit texte ou de faire un dessin sous le modèle «ce que j’aimerais dire à quelqu’un (papa, maman, sœur, frère, etc…) ». Etant donné que je n’ai pas grand-chose à faire de mon temps pour l’instant, mon assistant m’avait proposé de me joindre au comité de lecture chargé de ce projet : faire un livre contenant les meilleurs textes et dessins pour ce fameux cinquantenaire.

     

    J’ai bien évidemment accepté, et hier nous sommes allés à une réunion du comité de lecture au sein de la maison d’édition et d’imprimerie Grand (éditions Ouvertures). Au préalable, j’avais comme chacun d’entre nous reçu un gros dossier contenant entre trente et quarante textes et dessins envoyés au SPJ. C’est ainsi que nous avons passé notre après-midi de hier (et notre début de soirée) autour d’une table à délibérer sur toutes ces œuvres. Il y avait l’éditeur (un monsieur très sympa), d’autres représentants du SPJ, etc…On devait être huit ou neuf et l’ambiance était très bonne.

     

    J’ai donc pu assister aux prémices de la naissance d’un ouvrage au sein même de la maison d’édition. Et choisir parmi touts ces textes s’est révélé très difficiles. Il y avait de tout, des messages d’espoirs comme de révoltes, et certains de ces textes se sont réellement révélés très durs à lire. Je peux vous dire qu’en sortant de la réunion, je me suis dit que j’avais quand même eu pas mal de chance dans ma vie. Que dire de ce texte d’une jeune ado dont la mère est morte et qui imagine déjà la mort de son père, son propre suicide et celui de son petit frère pour qu’ils se retrouvent au paradis ? Ou de cette fille qui racontait comment elle et ses frères et sœurs ont vécu l’enfer dans une famille d’accueil qui n’aurait jamais dû avoir le droit d’accueillir des enfants ? Evidemment, il y avait d’autres textes plus gais, d’enfants et d’ados qui sont sortis du tunnel mais…il y a certaines phrases qui nous passent sous les yeux et qu’on ne peut pas oublie.

     

    En juillet, le comité se réunit une nouvelle fois pour parler de  la maquette du bouquin. J’espère vraiment que ça donnera quelque chose de bien, et je suis ravi, et même un peu fier, de suivre le projet.

     

    Le SPJ, comme tous ces gosses et ses ados, méritent amplement un tel ouvrage.

     

     

    Sinon, j’aime bien le mercredi. Sans doute une réminiscences du temps du collège, où le mercredi après-midi est synonyme de congé en Suisse. En plus, et c’est strictement superficiel, j’ai pu suivre hier soir la fin d’une énième série française de l’été « Suspecte ». Je dois dire que pour une fois, ils ont réussi à nous pondre une intrigue originale et bien menée par un trio d’actrices exceptionnelles (Ingrid Chavin est une actrice extraordinaire, et Karina Lombard et Elodie je sais plus (une suissesse^^) étaient aussi vraiment douées). Après l’involontairement hilarant nanar qu’était toute la saga du Zodiaque (Francis Huster m’aura fait hurler de rire plus d’une fois malgré lui) et autres trucs à la Dolmen, enfin quelque chose qui donne envie d’allumer son post. Je dis chapeau (même si je m’attendais à mieux pour la fin mais bon…).

     

    Et puisque on est dans le plaisir superficiel, le mercredi soir y a Docteur House, et cette série est tout bonnement géniale, surtout grâce au personnage principal au charisme aussi fascinant que détestable.

     

    En bref, retenez juste une chose : dimanche nul, mercredi bien.

     

    Chanson du moment: ("voir" au début de la note, comme d'hab') Baba Yetu, de Christopher Tin

    Bouquin du moment: toujours le même; je lis trop peu ces jours, c'pas bien. >_<

    Humeur du moment: relative